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Le passé industriel
Le passé industriel et commercial...Historique, anecdotique et personnel
L'exploitation des carrières, des deux distilleries de betteraves, de la distillerie de pommes et des deux usines de fabrication de boutons (Trénel et Géret) ont disparus.
De nouvelles industries sont venues les remplacer.
MAX PERLES4 rue du Professeur Dubos
60119 Hénonvilleex Usine de boutons Géret ; puis usine de parapluies Muller ; actuellement usine de peintures et vernis Max Perles et Cie à Henonville Oise
L'usine de boutons de nacre Géret est créée à la fin du 19e siècle.
Des cartes postales anciennes montrent l'existence d'un atelier de fabrication et d'un logement patronal.
Avant la Seconde Guerre mondiale, elle est reprise par Muller qui y installe une usine de baleines de parapluies, sans modification des bâtiments d'origine.
Elle ferme vers 1962. En 1963, Max Perles rachète le site pour y implanter une usine de peintures.
Il conserve les anciens bâtiments de l'usine de boutons en recouvrant juste la façade de l'atelier de fabrication d'un enduit.
Il construit néanmoins de nouveaux bâtiments à l'arrière du site. L'usine fonctionne encore actuellement.
Vers 1900 : 30 ouvriers. 1997 : 30 ouvriers.Informations générales
Propriété Propriété privée Localisation du site 4 rue du Professeur Dubos
60119 HénonvilleRéférence IA60001032 Enregistrement Inventaire général du patrimoine culturel Type Usine de boutons
Usine de peintures et vernisConstruction Quatrième quart XIXème siècle Époque XIXème siècle Catégorie Usine (patrimoine, construction inventorié au patrimoine) Informations structurelles
Patrimoine classé, étudié ou inscrit
Source Patrimoine de France
Usine de construction mécanique dite ETABLISSEMENTS MECANIQUE DE L'OISE. JUGAN
20, 22 rue Bamberger
Cette usine de mécanique générale est construite en 1937.
L'atelier de fabrication composé de sheds vient se greffer sur une maison d'habitation dont la façade extérieure est modifiée pour recevoir des baies vitrées.
Pendant la Seconde Guerre mondiale y sont fabriqués des obus.
Dans les années 1950, une partie de l'atelier de fabrication subit un incendie et la charpente en bois des sheds est remplacée par une charpente métallique.
Dans les années 1960, la société Smater Conditionnement y pratique l'injection plastique, jusqu'en 1985 (1983 : 20 ouvriers).
De 1986 à 1988, l'usine est achetée par la serrurerie Bontemps.
Depuis 1988, les Établissements Mécaniques de l'Oise Jugan occupent le site.
En 1992, des bâtiments pour le stockage des matériaux sont construits dans une partie occupée jusque là par une cour.
FLEXICOFlexico®, c'est une histoire qui a débuté depuis plus de 60 ans....
1950: Naissance de l'entreprise. Fondée par Etienne MOULIN et première entreprise à : mettre au point, fabriquer, commercialiser la fermeture en plastique
1962 : 1ère entreprise à produire, commercialiser en France le sachet breveté Minigrip.
1990 : 1ère entreprise en Europe à développer un nouveau procédé de dépose de zip sur du film pour passage sur machine automatique.
2000 : 1ère entreprise à proposer la dépose automatique d'une fermeture à curseur lors du remplissage d'un sachet.
2013 : 1ère entreprise à avoir mis au point, fabriquer, commercialiser la fermeture Sensogrip
En 2013, le groupe Flexico, est un industriel d'envergure mondiale avec : 600 salariés, 12 filiales, 7 unités de production, 300 brevets internationaux.
HENONVILLE : Flexico s’attaque au marché anglaisLe spécialiste du sachet plastique refermable poursuit son développement
le Parisien le 13 janvier 2014
C’est l’histoire d’une entreprise familiale devenue multinationale grâce à une invention : le sachet plastique refermable. Flexico est née à Hénonville en 1950 et a longtemps été associée à son produit phare, le sachet Minigrip commercialisé en 1962. L’entreprise s’est développée et elle compte aujourd’hui sept sites de production, trois en France, dont deux dans l’Oise (NDLR : le second est à MaignelayMontigny), un en Espagne, un en Belgique, un en Allemagne et un en Chine.( Elle emploie 600 employés,. compte plus de 1 000 clients dans la grande distribution (Auchan, carrefour ... ), comme dans différentes marques (pain Jacquet, Dim), pour un chiffre d’affaires de 72 M€.
Hénonville. Chez le leader français du secteur, les sachets plastiques sont conçus et fabriqués de A à Z. Un savoir faire qui s’exporte désormais
L’année 2012 restera comme charnière pour la société. Laurent Musitelli prend la direction de l’entreprise, il lance la nouvelle fermeture Sensogrip et sa dernière innovation, le zip clicky, est primée -au salon de l’emballage. « Le PDG est arrivé avec de nouvelles ambitions pour l’entre prise », explique Charlotte Barberet, ’ responsable du marketing et de la communication.
350 brevets internationaux déjà déposés"
Le leader français s’attaque à l’international. L’entreprise vient de réaliser une percée intéressante sur le marché anglais. « Nous avons beaucoup investi dans l’hygiène pour l’agroalimentaire, explique Charlotte Barberet. Nous avons 16 ingénieurs techniciens qui travaillent sur nos produits et ont déjà déposé 350 brevets internationaux. Nos ’études démontrent que le gaspillage alimentaire représente chaque année en moyenne 400 € par foyer. Nos derniers sachets plastiques refermables permettent de prolonger la durée de vie des aliments. ils ne sèchent plus dans le réfrigérateur et sont protégés de la moisissure. Cette initiative « save Food » a été saluée en Arigleterre et nous a permis d’obtenir deux clients :’ les fromages Pilgrim et la chaîne de distribution Tesco ».
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